La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Balancé d’un nord au sud décalés, voici un bruit d’aile émoi parti dans les allées du vent. Je siffle, par la cheminée. Monte un parfum d’andouille. Les moules du quotidien monopolisent le passage du soleil, pan-pan la crémaillère. En vie d’être frites ?
Sacré bataclan, ça pue le pain des pisses.
Le Boulevard du Crime, ça m’étonnerait que ça parle encore à quelqu’un, sauf s’il reste un ciné fil dans le nécessaire à couture. Peu importe, Les Enfants du Paradis vont devoir se protéger grave, si da.
Bah, n’aimant pas les cages pour ma part je mettrai que du Barrault à la fenêtre. Une manière sûre d’aller r’trouver d’beaux yeux.
Emmènes-moi ma Garance !
Niala-Loisobleu
21 Novembre 2015
Le pape François a estimé que dans un monde ayant partout choisi « la guerre et la haine », les lumières et festivités de Noël allaient sonner faux, dans un sermon particulièrement sombre jeudi lors de sa messe matinale.
Le Pape François lors d’une visite à l’Eglise évangélique luthérienne de Rome, le 15 novembre 2015 – VINCENZO PINTO AFP
Le pape François a estimé que dans un monde ayant partout choisi «la guerre et la haine», les lumières et festivités de Noël allaient sonner faux, dans un sermon particulièrement sombre jeudi lors de sa messe matinale.
«Nous approchons de Noël: il va y avoir des lumières, des fêtes, des arbres illuminés et aussi des crèches… Tout est feint ! Le monde continue à faire la guerre, à faire les guerres. Le monde n’a pas pris la voie de la paix», a déclaré le pape, alors qu’un immense sapin a été installé jeudi sur la place Saint-Pierre en prévision de Noël.
«Partout il y a la guerre, aujourd’hui il y a la haine (…) Et qu’est-ce qui reste ? Des ruines, des milliers d’enfants sans éducation, tant d’innocents morts, tant ! Et tant d’argent dans les poches des trafiquants d’armes», a-t-il insisté en lançant un «Maudits !» aux fabricants d’armes.
«Une guerre peut se justifier, entre guillemets, par tant et tant de raisons. Mais quand le monde entier, comme aujourd’hui, est en guerre — c’est une guerre mondiale, par morceaux, ici, et là, et là, partout –, il n’y a pas de justification. Et Dieu pleure», a ajouté le pape.
«Cela nous fera du bien à nous aussi de demander la grâce de pleurer, pour ce monde qui ne reconnaît pas la voie de la paix. Qui vit pour faire la guerre, avec le cynisme de dire qu’il ne la fait pas», a-t-il dénoncé.
A l’approche du Jubilé de la miséricorde, le pontife argentin a prié pour que «le monde retrouve la capacité de pleurer pour ses crimes».
Décidément moi le fou, je ne me surprends plus de partager, en tant que mécréant, l’opinion du pape. Ce monde marche totalement sur la tête…
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