
TOI MA PLAINE
Tes seins
gorgés de vie
aréolent
mes peurs de vivre
d’un levé du jour
Frémissant du refus d’abandon
ton ventre
où cerclent des rondes enfantines
varappe au-dessus des abîmes
D’une vertèbre à l’autre
j’embouche tes hanches
du haut-bois de ta fourche
aux percussions de tes cris
Redressant nos chants en berne
tu pousses de l’arbre d’amour
ton pulpeux corps bel de fruits
hors de l’automne retroussé
Niala-Loisobleu
19 Novembre 2015

https://www.youtube.com/watch?v=GYQE2eBwSG8
Picasso que j’adore et Frida Boccara dont je connais encore les chansons par cœur, et puis des mots qui s’entrechoquent et s’entrecroisent tissant des liens improbables. Un pare-choc qui nous habille d’amour comme dit la chanson.
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L’amour, bien que n’ayant pas pour fonction première de parer aux coups, demeure l’inoxydable force d’opposition qui leur résiste d’une part, en les dépassant d’autre part. Merci Anne, Pablo partagé.❤️
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Debout sur le tabouret de son envie, il avait remonté la fenêtre de plusieurs étages, en se disant qu’on est jamais trop ô…merci mon Idéelle.
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Entre tes attachements picturaux moins d’appâts poétiques et mes chemins bleus, le moins de ce monde n’affecte en rien la richesse d’esprit. Merci Charles.
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Panorama déployé, l’amour sort en macro…merci
Sacha B.
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Peau aime en bleu 💙
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Mieux que les mauvais coups faisant des bleus !
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