COÏN SI DENSE


COÏN SI DENSE
Au virage d’une main coupée
restée par taire
ne passant pas là par hasard
mes oreillettes tendirent les leurs
Comme elle battait en corps
la mettant en visière
se la greffèrent loin devant
bouche à bouche
Par l’apporte cochère
une horde de chevaux bleus
ruant
s’attela à tirer l’amer du croissant
Niala-Loisobleu
17 Novembre 2015

6 réflexions sur “COÏN SI DENSE

  1. Regarder le monde tel qu’il se déploie devant soi et se demander « qu’est-ce que je fou là? »

    J’aime

Les commentaires sont fermés.