PARTOUT, ENTENDS- TU PAR TOUT MON AMOUR
De cette nuit franchie tes bras me sont restés pleins des odeurs fortes qu’à ton corps quand il se met à ne vouloir qu’aimer et rien d’autre, puisque aimer est le Tout, qui ne s’encombre pas d’inutile.
Un cerne est un matin bleu des étoiles peints au nocturne de nos jardins sous la lune.
Ceux qui clament être des changeurs de monde ne sont que des allumeurs d’artifices mouillés, de marées sèches, de lunaisons sans fesses où asseoir la pensée positive, de prothèses sociales, de mauvais numéros de transformistes, de dogmes à bannir, qui ne savent absolument rien de la vertu première du sel .
Arguer d’amour en usant des extrêmes de l’illumination obscurantiste, relève uniquement de la démence à l’état pur.
Quelques fils de lin tissés aux poils du bois de mes pinceaux te serviront de cerfs-volants, je t’aime d’une écriture sans maux, je t’aime, d’un regain de vie trouvé au souffle de chaque baiser que tu s’aimes à la volée. je t’aime au nom de la Vie contre la mort qui crût pouvoir frapper dans la plus barbare tragédie.
Au matin du prochain autre jour,
à Elle, à Lui,
innocentes victimes des tyrans, je dis ô en couleurs:
« Partout où ils arracheront je replanterais »
Niala-Loisobleu
16 Novembre 2015

Magnifique tableau pour mots porteurs de sens. Pourtant, il est dur d’en trouver…
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En y réfléchissant bien, dans ce drame, il est heureux d’avoir de la difficulté à trouver les mots…Ils nous gavent depuis une éternité, n’ayant en réalité servis qu’à conduire à ce résultat dont la suite n’est hélas pas close…Des actes c’est bien ce que j’attends, comme quelques autres…Merci Anne.
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La question de ce qui va suivre est posée sur nos têtes, plus angoissante que jamais…merci Lyse.
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Ce que l’Homme a de goût pour ne jamais voir avant…merci Sacha B.
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Fendre la pierre pour déposer la graine en son coeur c’est reconstruire, merci Sally.
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tenir en corps plus serré, merci nanacosmetics
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Merci ça serre toujours d’être là où on a besoin d’amour,
uneviecocooning
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Rien qu’où vers quoi?
Oh amour, sans boussole poussé au vent qui désordre les cheveux 💙
Si le pinceau dessine les contours du désir, tous poils dressés et le corps humide, je me perds dans les Dunes qui s’écoulent du sablier… temps éperdu d’un amour sans temps.
En marchant, le chemin se fait et se défait car peu importe puisque je vole… 💙
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Les poils lissent le drap p’ô en haut du mât. L’amer rentre ses gars laids et la rivière des Parfums porte la jonque. Envol, envol, envol !
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Le drap peau laisse vivre la nudité en corps…
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A l’étend d’art, j’oeuvre. Mon levier pour sésame. branlant l’inerte pour le faire venir au cri, la gueule bien ouverte comme une ouïe venant boire et reboire son air pour la vie !
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❤️
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