LACRYMALES BLEUES
Pendant qu’ils avaient
leur do tourné
le tien tout seul a pris toute la gamme
jolie fugue
J’ai posé mes lèvres au sel de tes yeux
larmes bleues
vagues de harpe
cap au large
Un do plus fin que les autres
surgissant de l’ô
a libéré de ta poitrine
les zèles des papillons
Nous voici aux chants d’oiseaux
accordés
une m’aime couleur de plume
à la main
De loin en loin
nous nous rapprochons
à portée
Niala-Loisobleu
12 Novembre 2015
Niala-Loisobleu 
Au clavier de ses vertèbres j’ai les doigts qui fuguent…merci On met les voiles
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En do majeur bien sur.
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Du bleu me remonte à ne pas m’en faire rougir…merci Anne.
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Merci uneviecocooning
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Le corps est un mot muet qui s’écrie…
Géant-vie…
Tu es là et le reste n’a pas d’importance…
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Au moment où les bras des arbres s’effeuillent,les doigts se posent la question d’hêtre ,ou de ne pas, debout, dressé visant en corps tendu de sa flêche…
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