TA GRANDE ÎLE LUSION
Un sourire figé montre les dents jaunes d’un clavier que le web came
par des promesses en papier
plus jaunies qu’une carambouille dans le dos de l’innocence
Asphyxie
quand tu nous tiens
les cendriers débordent
rien que de fumées
Des corps en perspective
posent en flou artistique
Ils sont entrés aux studios de bille en cours
prendre
une chambre à l’ô tel où l’on ment
Art l’est- y ?
Plutôt gare rance
Les beaux yeux de vers nulle part tu parles d’une atmosphère
Cinéma
la vie te rattrape à la sortie
Ta belle gueule
atout des affinités d’avatar
reprend son erre
tôt ou tard
Faux-marbre avec ses faux-seins
la clairière en faux-bois a ses fenêtres donnant sur l’amer
Vue imprenable sur les mous tons et les voies
de la
Jeanne d’Arc
(rien que du bas tôt école)
le pas lasse
bée des anges construit sur la décharge à ors durs du virtuel
au point du brame des cocus
– Tu me sens dis, comme je brûle de toit ?
– Oh oui, sur une grande échelle qui fait pont peint
Le regard humain a de la poignée quand tu le serres
et sentir le cal des paupières d’un ami
ça marque d’une vraie pierre la fondation d’un édifice…
Niala-Loisobleu
12 Mars 2015
http://https://www.youtube.com/watch?v=rDC6tbq9UkQ


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