AIR RANCE
Un jour levé par une poussée d’aérosol
en baume
te fout la grand-voile
et le spi
dans l’amer des sarcasmes
Où que pas une anguille sous-roche
aurait la moindre idée de traversée
Noyée dans sa route du rom
mon humanité
se brûle à l’alambic d’un putain de ratafia
de licence IV à strophes
On n’a des adversités qui grouillent comme un nid ovipare
plus indénouable qu’un SAC à méfaits de conspiration politique
La poisse d’une toison rabotée à l’aimerie
est autrement plus accrocheuse de morbacs
et
plus vorace qu’une nuée de sauterelles d’un centre d’abattage pour phallocrates
Amour où es-tu donc ?
Pauvre petit ange à l’arc bouté
Le sentiment mis en boutiques d’accessoires pour farces et attrapes
devient le confondu de la santé avec une politique de la prothèse
c’est contrat sceptique pour l’énergie solaire
que vaste chantier de construction d’éco-logis pour poupées gonflables
L’oeil joint à la pierre du fronton d’un sommet de colonnes
jette ses cils au loin
le sable ne peut retenir les dunes que les chameaux mettent sur la route de soi
pendant que les peaux tendues s’associent au bois de violes
sans que les cordeS puissent faire autrement que libérer
les champs d’encre
au do des cotons du blues
je trépigne
Niala-Loisobleu
4 Mars 2015
ça


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