
MUE TEINT (REPRISE)
Les couloirs où les pas s’en foncent appellent à plus de clarté sur le pas de porte
il y a la raréfaction d’oxygène où pourvoir
Je ne cherche pas l’oiseau du regard
un trop d’engrais l’a fait chercher où poser ses ailes ailleurs ou mourir sur place
J’ai contre-peint comme si moi l’imaginatif je me trouvais à reproduire sur le motif. Danger, prendre un jut-box sur hamburger et coca emprisonnent la carte du tendre du déjeuner sur l’herbe d’un entrain de campagne, les vaches pour témoins.
Mets-toi les seins de la Muse pour seul chemin qui vaille. Tu n’as pas à devancer l’appel pour rejoindre la camarde, son sourire est trop peur. Les petites maisons sont là qui te tendent les bras de leurs venelles à l’abri des devantures commerciales, du soleil à vivre et non à estourbir dans l’oeil qui déforme la nature des choses. La voilà ta porte, tu le sais mieux que personne.
Je t’aime tu lui as dit, montre-lui…
Niala-Loisobleu – 12 Août 2018
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