
LE TIROIR
Collées aux murs les odeurs de bête tiennent pour raison principale aux brancards où j’attèle
Le grenier à foin est fleuri de tes robes imprimées
un trou dans le toit pour la lumière
la charpente pour l’exercice aux barres parallèles
C’est là qu’on s’est enseigné à l’exercice de la vie
et qu’on garde ses dessous dans leurs dentellles pour les moments ténébreux
Ta poupée et mon nounours y restent grandis par les montées à l’échelle.
Niala-Loisobleu – 17 Octobre 2022
grand sourire à la lecture merci:)
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Ah bien, tes lèvres en coulissent, Marguerite !
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Je tire le rideau bleu il n’en croit pas ses yeux:)
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