
L’EGOÛT ET LA COULEUR
Fut un aqueduc en cet endroit devenu sec qui transportait plus de bonheur qu’un maxi-toboggan d’espace aquatique de centre de vacances
Restent des jarres propres au transport des brigands dans l’étendue des mauvaises herbes, les fleurs ne trouvant plus que dans la tête le coin où s’épanouir
dans les rues ne menant nulle part, les buses des trottoirs s’empiffrent du déchet des orages et du désespoir contenu dans leurs boues. Le discours incapable de s’en sortir aborde l’aveu de la fin de l’abondance. Comme si du gâchis il aurait pu être possible d’attendre le meilleur pour tout le monde.
Retour de Brégançon, fuite en Algérie, amusons-nous à Fresnes avant qu’on coupe la lumière
Ces pantomimes, pauvres chansons de gestes, me gonflent la croisade sans que je me détourne de l’Amour Courtois auquel ma foi demeure attachée pure par sa poésie. Assurant pour le moins le pigment au lieu de la chimie dans la couleur.
Etant donné que c’est ainsi depuis toujours, j’aurai percé ma part d’existence au travers de la pourriture dogmatique et des séquelles qu’elle édifie.
Niala-Loisobleu – 26 Août 2022
Il est inévitable que nous soyons déjà entrés dans une ère d’étroitesse, la règle à suivre est de consommer avec parcimonie chaque ressource précieuse et de raisonner chacun de nos mouvements quotidiens. On n’échappe pas à un avenir qui nous présente la facture
bonjour Alain
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Les 30 glorieuses sont si loin qu’il ne fait aucun doute en ce qui concerne l’étroitesse dans laquelle nous sommes entrés Daniela. Si ce n’était la certitude que j’ai que plus on nous retire plus les responsables en en ont davantage, je trouverai la parcimonie de nos choix raisonnable. Mais l’abus est d’une insolence qui m’insurge…
Bonjour Daniela.
Alain
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