
Z’AILES DEPLOYEES
Les yeux se coupent quelques fleurs dans ce coin épargné par les brûlures
un rêve comme une voix sortant d’une laryngite du chant clos
Aux nuages porteurs d’eau que le vent transporte les collines bondissent du décolleté
ne parlons pas de l’herbe rasée par la canicule qui se déculotte pour avaler sans interdiction
Des cantonniers avisés nettoient sous peine de réaction d’insoumis, les avaloirs stratégiques d’égouts, obstrués de saloperies
Dans le gâchis à venir la crue prendrait la place du feu, histoire d’éteindre ce qu’on a pas besoin, que ça n’étonnerait qu’un porte-paroles de la vision actuelle.
Niala-Loisobleu – 17 Août 2022
D
La voix revenue et je remonte le fil du temps perdu 🦋
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