Astor Piazzolla/Horacio Ferrer – Susana Rinaldi – Orchestre Radio/Télévision d’Israël

Balada Para Mi Muerte – Astor Piazzolla/Horacio Ferrer – Susana Rinaldi – Orchestre Radio/Télévision d’Israël
Je mourrai à Buenos Aires, ce sera à l’aube
Moriré en Buenos Aires, será de madrugada
Je garderai docilement les choses de la vie
Guardaré mansamente las cosas de vivir
Ma petite poésie des adieux et des balles
Mi pequeña poesía de adioses y de balas
Mon tabac, mon tango, ma poignée de splin
Mi tabaco, mi tango, mi puñado de esplín
Je porterai un manteau par les épaules, toute l’aube
Me pondré por los hombros de abrigo, toda el alba
Mon avant-dernier whisky restera imbuvable
Mi penúltimo whisky quedará sin beber
Ma mort amoureuse arrivera tangally
Llegará tangamente mi muerte enamorada
Je serai mort vif, quand il sera six heures
Yo estaré muerto en punto, cuando sean las seis
Aujourd’hui que Dieu m’empêche de rêver
Hoy que Dios me deja de soñar
A mon oubli je passerai par Santa Fe
A mi olvido iré por Santa Fe
Je sais que tu es déjà dans notre coin
Sé que en nuestra esquina vos ya estás
Toute de tristesse, jusqu’aux pieds
Toda de tristeza, hasta los pies
Tiens-moi fort à l’intérieur
Abrazame fuerte que por dentro
J’entends des morts, des morts anciennes
Me oigo muertes, viejas muertes
Agressant ce que j’aimais
Agrediendo lo que amé
Mon âme, allons-y
Alma mía, vamos yendo
Le jour vient, ne pleure pas
Llega el día, no llorés
Je mourrai à Buenos Aires, ce sera à l’aube
Moriré en Buenos Aires, será de madrugada
Quel est le moment où ceux qui savent mourir meurent
Que es la hora en que mueren los que saben morir
Le mufa parfumé flottera dans mon silence
Flotará en mi silencio la mufa perfumada
De ce verset que je ne pourrais jamais te dire
De aquel verso que nunca yo te pude decir
Je marcherai tant de pâtés de maisons et là sur la Plaza Francia
Andaré tantas cuadras y allá en la plaza Francia
Comme les ombres fugaces d’un ballet fatigué
Como sombras fugadas de un cansado ballet
Répétant ton nom dans une rue blanche
Repitiendo tu nombre por una calle blanca
Les souvenirs me laisseront sur la pointe des pieds
Se me irán los recuerdos en puntitas de pie
Je mourrai à Buenos Aires, ce sera à l’aube
Moriré en Buenos Aires, será de madrugada
Je garderai docilement les choses de la vie
Guardaré mansamente las cosas de vivir
Ma petite poésie des adieux et des balles
Mi pequeña poesía de adioses y de balas
Mon tabac, mon tango, ma poignée d’esplín
Mi tabaco, mi tango, mi puñado de esplín
Je porterai un manteau par les épaules, toute l’aube
Me pondré por los hombros de abrigo, toda el alba
Mon avant-dernier whisky restera imbuvable
Mi penúltimo whisky quedará sin beber
Ma mort amoureuse arrivera tangally
Llegará tangamente mi muerte enamorada
Je serai mort vif, quand il sera six heures
Yo estaré muerto en punto, cuando sean las seis
quand il est six heures
Cuando sean las seis
quand il est six heures
Cuando sean las seis
quand il est six heures
Cuando sean las seis
Source : Musixmatch
Paroliers : Astor Piazzolla / Horacio Ferrer

Cher Alain, dans quelques jours, je publierai moi aussi un poème sur ma mort.
Il n’est pas aussi beau que celui que tu as posté, mais j’espère qu’il te plaira. Bonne soirée.
J’aimeAimé par 2 personnes
Je le lirai avec tout le soin que j’apporte à te suivre, Marcello
Le sujet est d’une actualité rendue nouvelle par le comportement des gens qui nous entourent
Bonne soirée à toi, mon Ami.
Alain
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup, cher Alain!
J’aimeJ’aime
C’est beau Alain! ❤
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Filipa ❤️💋❤️
J’aimeAimé par 1 personne