
DANS L’IMPATIENCE DU GRENIER
Au coeur d’une sécheresse dont les sentiments posent interrogation, j’ai arrosé tes zones érogènes d’une chanson de corps de garde
Bandonéon qui se contorsionne pour rentrer les récoltes des semailles du tant qu’on s’aimait au grenier
La boule jette ses plus intrépides caresses quand tu fléchis à l’entrée de mon genoux entre tes cuisses
et que la plante recroquevillée sous son capuchon décapote un neuf bouton
Venus des villages lointains perchés en montagnes les clochers remontent aux forges
l’oiseau qui fait messager ne veut plus être un pigeon
Quant à lui le cheval est au labour depuis l’aube
l’odeur venue du sillon montre un reste d’ô en profondeur
Mon envie d’ananas repart en voyage.
Niala-Loisobleu – 22 Juillet 2022
De la cave au grenier, toujours et en corps le désir comme élan vital ♥️
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la maison a des pièces fondamentalement stratégiques pour faire face…
Merci Namarisha.
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