
TENIR A L’ARBRE ATTACHE
Le feu dans les yeux je ne vois plus qu’à peine
je m’attache à l’arbre comme on s’amarre à ce qui vous tient debout quand plus rien n’est clair
Cet acide ressemble à la situation d’un coin des Landes coupé de la vie
D’un côté tout est prisonnier des flammes et de l’autre tout est brûlé
Torches forestières
la mer s’est sciée la branche où la vie assise baignait les vacances
Niala-Loisobleu – 17 Juillet 2022
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