
CE CHENAL DE MA MER
Au fond l’Atelier de Niala, sur La Chaume, vaste embarcadère
De Vincent venu de St-Rémy, des iris tiennent leur sexe ouvert pour ovuler au bout de tiges qui vont d’une rive à l’autre
Et le pierres ne font qu’ouvrir ce mur boulimique d’animaux venus d’une très très vieille mer venu là garde la vie à jamais
J’ai semé des ateliers de Paris aux quatre coins du monde. Toujours ce désir d’aimer en besace. Comme un chien remontant de son flair les couleurs du temps
Le néflier a bien grossi sous les yeux des deux sentinelles oliviers
C’est ma voie r’homme aime sous l’empire de la poésie…
Niala-Loisobleu – 3 Mai 2022
Le seul langage véritable Mon…
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Tant de gestes d’amoureuse générosité en sont ce dit-langage qu’ils sont parvenus à ne pouvoir prendre que l’âme et le corps eu un même absolu désir Ma…
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la paix perdue revient à travers la symbiose avec la nature, nous sommes des biologistes différents mais il y a un rapport direct entre les animaux végétaux et les minéraux, des mondes qui se complètent et se réconfortent mutuellement, quand tout semble perdu..
cette photo est un baiser direct à l’âme
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Oui nous usons de ce pouvoir de mutant en tant que biologistes au moment où l’homme jette le fabuleux trésor
Tout n’est qu’amour dans la nature
J’apprécie ton sentiment Daniela. Il corrobore tout à fait le ressenti que j’éprouve à cet instant précis. Ah merci !
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