
SAUVAGE LUMIERE
DES NOCTURNES ARCANES
Du cri des dents qui déchirent la lune des marées, un rêve fou que le chaos entoure, défanatise la douleur en retournant la position du pouce
La nuit a mis bas
Quelque part, un port avance sa gare jusqu’à la criée
Sur la plaie qui saigne, l’amour en collant ses lèvres pubiennes signifie plus que collecte portée au hasard des routes
Il assure l’accueil de son anneau de sang-mêlé au poignet
L’haleine jointe au cri tourne le rouet, attelant les chevaux pour qu’ils poursuivent l’odyssée au-delà du temporel
La Palette
a réuni dans son café le défi fait au platonique en arborant la charnelle union combative.
Niala-Loisobleu – 13 Mars 2022
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