
PEAUX D’OCRES
Charpentée dans son coin la voix de la vasque tire la porte à elle
L’encoignure du vieux mur retient les bistres du feu initial au centre des toiles
Dans la mémoire du géranium couvent des laves prêtes à surgir des ficelles des marionnettes du théâtre de la nature
A deux pas la mer tient du roulis la cadence du pouls
Alignant l’indélébile aux planches des tables d’hôtes du jour appuyées à la façade
Quelques mauvaises herbes arrachées du chant de la fontaine font place aux cinéraires-maritimes en sourd du cristal d’écume
Paisible l’eau qui dort jouit en toute plénitude de la présence du rêve dans l’échancrure du passage où peut grimper l’échafaudage.
Niala-Loisobleu – 6 Janvier 2022

J’adore, les photos tres belles.
Merci Alain.
Elvira
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