
DU HAUT DÉTOUR
Je vais à la mer sans regarder l’heure pour le choix du chapeau nos maillots n’ont pas d’idées cachées
Quand la couleur coule d’un de mes doigts c’est la main entière qui te pénètre comme le soleil traverse l’esprit du taillis
Sur les contorsions pragmatiques le bandonéon reste coi
Ton encre est musquée par les secousses des traverses sur le rail parallèle
Quand de la chaise tu t’affûtes à la meule de l’ascèse. Un sein plat c’est qu’improbable
La chair de poule de ce monde ne perce que le trottoir de son orientation volontaire
Le rempart pour voir en corps à présent est amené à faire son propre siège
Niala-Loisobleu – 26 Décembre 2021
« Quand de la chaise tu t’affûtes à la meule de l’ascèse »…
ah il n’y a que toi pour écrire des choses pareilles….
Le fer forgé a souri soudain et s’en est ému…
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Et moi je peux aussi sentir qu’en l’occurrence l’éteint selle n’est pas de mise tant la monte est à cru
Faire forger comme disait Vulcain ça cercle autrement la Roue que le premier paon venu…
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