
L’INFINIE PLAINE
Ses menthes sauvages limant l’épine du cactus
portent le sabot dans l’écume au trempé du ventre
voici la vague venue par trois
la main posée sur la poignée de la porte
entends le coq tenir office au parking en toute sieste
comme pour combler le moindre espace de vide d’exigence de cette nature sauvage
« Piensa en mi » |
Si tienes un hondo penar, piensa en mí.
Si tu as une peine profonde, pense à moi,
si tienes ganas de llorar, piensa en mí.
Si tu as envie de pleurer, pense à moi,
Ya ves que venero tu imagen divina
Vois-tu comme je vénère ton image divine,
tu párvula boca que siendo tan niña
Ton innocente bouche, qui est si enfantine,
me enseño a pecar
M’a appris à pécher.
Piensa en mí cuando sufras, cuando llores
Pense à moi, quand tu souffres,Quand tu pleures,
también piensa en mí
Pense aussi à moi
cuando quieras
Quand tu veux
quitarme la vida, no la quiero para nada
Ôte moi la vie, je n’en ai pas besoin,
para nada me sirve sín tí.
Elle ne me sert à rien sans toi.
Piensa en mí cuando sufras, cuando llores
Pense à moi, quand tu souffres,quand tu pleures
también piensa en mí, cuando quieras
Pense à moi, quand tu veux
quitarme la vida, no la quiero para nada
Quand tu veux ôte moi la vie, je n’en ai pas besoin
para nada me sirve sin tí.
Elle ne me sert à rien sans toi.
Piensa en mí cuando sufras, cuando llores
Pense à moi, quand tu souffres,quand tu pleures
también piensa en mí, cuando quieras
Pense à moi, quand tu veux
quitarme la vida
ôte moi la vie
Para nada
je n’en ai pas besoin
para nada me sirve sin ti
Elle ne me sert à rien sans toi.
Entre les lèvres du canyon garde le chemin sur la langue
La vie est à boire pendant qu’elle coule.
Niala-Loisobleu – 25 Décembre 2021
Muy bello, Alain.
Gracias por publicar en español.
Merci.
Elvira
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