
ASSOCIATION BIENFAITRICE
Alors que le cheval a disparu du faire en sorte, deux papillons sautent sans relâche en ma tête. Un bleu et un jaune formant un couple. La terre est molle et la feuille à remplir
Quand Boris étalait l’écume, j’étais au bon jour qui, en fin de guerre, relevait l’espoir sans limites.
Oh hisse et ô
Omicron pour variant
c’est pas faute d’avoir dit ce qu’il serait sage d’appliquer. Mais sage est devenu une évolution de l’insanité. Ces mots jetés à la face pour dénoncer (comme on a rasé les femmes qui avaient aimées sans crier gare) Qu’il est con le petit mec que pourtant beaucoup d’entre elles veulent égaler
Le jour où sur l’Atlantique le nazisme a dressé les premiers murs sur l’écume, ma folie – avec les oiseaux qui étaient encore de ce monde – a planté de la trémière. C’est taire et surtout laisser le beau grimper sans rien dire
Plus près des planches de la cabane qui m’a donné raison, quand le coq de bruyère traversait suivi de nombreux lapereaux sans raison d’avoir peur, je me rapproche de la pinède sauvage de mes mots-peints
Chercher ce langage pictural qui poursuit en corps au coeur du désert, Muse à l’oeuvre
C’est mon concept de l’Art
Et je n’ai pas à mettre mes dernières cartouches dans l’automne. Ce vieux fusil se charge de couver les graines sous le vent m’aime contraire. Tant que l’araire au sillon ira, les discours resteront au service de l’intelligence artificielle sans toucher à la lumière du fondement du coeur.
Niala-Loisobleu – 29 Novembre 2021
Interessant et profond.
Excellente semaine.
Merci.
Elvira
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C’est moi qui te remercie
et souhaite à toi aussi, Elvira
Alain
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