
TAIRE D’OMBRES
Les ocres scindés de la main pariétale s’en trouvent remis aux vents
mon ombre est invitée à rejoindre le paradis perdu où des hommes dressaient la pierre sans déité, mais avec une foi sacrée
La horde sauvage des chevaux
les percussions des bisons referment la caverne où la main sanguine exsangue
En surface
on va et on vient en bande décimée d’oiseaux-migrateurs en quête de soleil.
Niala-Loisobleu – 31 Octobre 2021
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