
QUAND L’EAU DOUCE SE SALE
Douloureuse rotule à la recherche du mouvement résolu
les cliquets des vertébrales décoincent dans l’éloignement du quai
sur le lé de côte un vol d’oies sauvages s’est attelé
ça vole gars
le cabestan du bassin ouvre l’écluse des cuisses en estuaire
monte alors du soupirail l’odeur de croissant chaud
que les mains au trottoir chargent dans le tri porteur
nous laisserons les seins de marbre aux carrières pour sentir battre la ligne de vie à la paume
j’amène le soleil pour charger le rayon à cul d’un bord à l’autre des ridelles.
Niala-Loisobleu – 12 Octobre 2021
Ah je te reconnais bien là…
Bonjour mon…
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Nos nues clefs aires reconnaissent nos atomes sans se tromper de serre hure
Oui c’est un bonjour Ma…
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