
GRATTE-CHAIR
Il ne contait pas les heures de sa marche au confluent du rein, Wagner s’étant chargé de faire les cuivres pour redonner ce brillant à la femme qui manquait par vestale du genre impossible à comprendre et asseoir au char-à-bancs d’un quotidien où la vie de chien est pleine de nuances
Faut-île faire sa croix sans nager ?
Sans doute le fait qu’il venait de démarcher le 3ème rappel boostait son né pôles, le subconscient malmené d’aujourd’hui manque de contacts, serrer la main des yeux dans les yeux de quelqu’un ça est autre chose qu’un like sur le net
Et joyeux de retrouver ses repères, il sentit la couleur prendre de nouveau chair dans sa vie ordinaire, l’amphithéâtre d’apprentissage de l’autopsie c’est bien si la chair ne prend le nom de viande et que le corps demeure ce qu’il faut en connaître d’humanisme
Les doigts vont à la rencontre des toiles
Seins sans laisse comme oiseaux sans cage
Voici l’arbre debout et l’ô live dénoyauté en direct
Un bleu infini partagé.
Niala-Loisobleu – 11 Octobre 2021
Le clown lyrique du matin travaille l’homme précaire
la peau sur le cœur
pour qu’il se montre digne enfin de ce qui le touche
et que se tiennent au ruisseau de ses mains empiriques
les couleurs
cette grande chose simple qui l’appelle comme un pan
de vitre posé sur sa nuit Ah
le bonheur qu’on ouvre comme une huître et que l’on boit !
Barbara Auzou.
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Regardant son cheval l’Auguste dit à l’enfant
-Selle qui baille rêve de monte à cru…
L’oiseau ô pina en voyant l’enfant laisser la perle de côté pour mâcher l’huître
Voilà qui est claire de Ma Reine
Sabbat très bien…
Merci Ma…
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