Le sel en pied-à-terre
Tête au soleil en Octobre je vois la Bretagne au bleu de ses ardoises tourner ses chemins autour de ses maisons assises au cœur des pins. Touffes dhortensias du ton queue-de-vache allant vers l’assaut des fougères
Le ciel bleu sans épaves
Un sentiment qui rejoint une pureté comme l’enfance en trouve dans le son de poupée où le vers des billes
Lavage du masque devant l’ex-voto qui tient le souffle d’un péri-en-merc au tremblant dès cierges pendant qu’au pied de l’abside les vagues vont et viennent
Ce métaphysique qui transforme le banal sans recours à la frime du quotidien
Ces lourdeurs qui mènent aux fatigues diverses où l’on finit par s’égarer
Ici la poésie tient tête à l’agression du camping-car , mais pour combien de temps ?
Niala-Loisobleu – 8 Octobre 2021
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