
AU DIAPASON DE VOIE
Sortie des brouillards de l’oeil et des asphaltes en fonte voilà la route à la côte surplombant de sa carte maîtresse les virages
De la corniche où tourne la mer les vagues de cris d’oiseaux marquent la présence des marées
Phare dressé sur les granits d’armor à la pointe des fraises de tes seins et aux hanches de tes poignets battants. Ce regard renversé dans l’embrun jeté par l’amour imprimé au relevé de la nuisette
Mystique transfusion du sans qui réunit à la source des ratés de l’existence
Claire expression de la branche, un enfant privé donne la réponse à l’errance existentielle
Mon dos bandé comme l’arc de naissance donne ton adresse au GPS
J’arriverai quoi qu’il arrive Maria
ce merlin là ne tue pas les chevaux, il les Brocéliande
Panorama des Monts d’Arrée rejoint au nombril de la légende
le chemin retrouve l’empreinte du seul creux du ventre où le corps-mort rend le mouillage absolu.
Niala-Loisobleu – 22 Septembre 2021
Il faudra prendre date pour l abolition des calendriers pour attacher au seul seul sauvage la nacre issue de l eau
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Comme l’épi taffe le clope
du sauve gardé on se prendra à plaine bouffée au tube en vers de cette poésie…
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