DEJA L’AILE REMUE
Sous l’aiguille du peint
d’un battement de cils le rideau lointain passe une jambe hors du lit
sans voir que le cri j’entends la courbe de tes hanches tendre l’anse à la coudée franche
ce n’est que le souffle du pouls qui bat la cadence
qui reste attachée au fond de ton nombril par le noeud de mes escales
les premières manifestations passent par les venelles entre deux monts
soulevant l’oeil de l’herbe à la grâce matinale du grand papillon resté collé aux glissements du rêve
Niala-Loisobleu – 30 Juillet 2021
Un bonjour à prendre des nouvelles de nos rêves Mon…
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Oui pour nouer le goûteux qui les jumelle
Quel bonjour Ma…
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Oui!
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