La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Autant j’aime Marc pour plus de déraison multiple, autant je n’aime pas l’étiquettage qu’on me met à lui. Je ne peux ressembler à Chagall qui est dans une sphère autour de laquelle il m’est possible de tourner comme d’autres, mais pas d’entrer, c’est si haut que personne, je dis PERSONNE à part lui n peut y accéder.
Ce que j’adore dans tes peintures, c’est qu’il y a des petits messages écrits.
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C’est bien, tu sais lire Marie !
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Merci ! Bon alors je ne suis pas un cas désespérée, savoir lire c’est toujours une qualité certes, surtout savoir lire une peinture…
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Oui Marie, lire une peinture c’est en avoir fait son image, donnant ainsi la vie à l’oeuvre qui sans habiter chez chacun mourrait d’asphyxie…
Merci reste un cas d’ô c’est tonifiant. Je t’embrasse.
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Je pensais que c’était un Chagall, mais c’est un oiseau qui l’a peint !
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Autant j’aime Marc pour plus de déraison multiple, autant je n’aime pas l’étiquettage qu’on me met à lui. Je ne peux ressembler à Chagall qui est dans une sphère autour de laquelle il m’est possible de tourner comme d’autres, mais pas d’entrer, c’est si haut que personne, je dis PERSONNE à part lui n peut y accéder.
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Je n’étiquette pas, c’était un premier ressenti. Mon coeur ne fait que voir laissant mes yeux se fermer.
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